« Mes personnages sont amenés à faire des choix radicaux ou immoraux. »

« Le court me convient bien. »*

* Pascale Dietrich

Dans le rétro se propose de regarder un peu en arrière car tout va trop vite et l’actualité couchant avec l’immédiateté, très vite, tout devient caduque. Le livre est périssable et certains aimerait voir sa date de péremption égaler trois mois (ce qui est le cas, paraît-il, en librairie). Sur BBB, que nenni morbleu. L’avenir appartient au passé toujours présent en nous comme celles qui nous ont quitté (Mo Hayder) et ceux qui sont morts (Jean-Jacques Reboux). Dans le rétro puisera donc dans CaïnShanghai Express, Noir comme polar, 813 ou Émancipation (dans lesquels le critique qui joue du clavier aujourd’hui était/est un membre de l’orchestre) un peu d’eau pour nous rafraîchir en ces temps subsahariens. FB

Aujourd’hui, retour sur un entretien avec Pascale Dietrich (Faut pas rêver) paru dans Émancipation (juin 2023) avec un article sur son œuvre (Faire porter son regard là où le regard ne porte pas).

François Braud

Les livres de Pascale Dietrich ont été reçus en service de presse (merci Josée pour les deux Polaroïd) ou achetés en librairie ou d’occasion. Merci aussi à Amandine Labansat de Liana Lévi pour son aide (biographie, photographie…)

Article mis en page et posté en écoutant La Femme et son théâtre lucide (Teatro lucido) qui n’hésite pas à la sortir : Sacatela

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